https://www.youtube.com/watch?v=5Ch5ZCGi0PQ
Je ne sais pas trop quoi penser de ce mec encore. J'aime assez sa volonté de poser des critères moraux pour juger l'action politique me plait assez. Si dangereux que puissent être ces critères, j'ai assez confiance en l'existence de certains invariants.
Quoi qu'il en soit, je suis tombé sur cette vidéo, extraite du Pervert's guide to cinema, un film de trois heures que je n'ai pas vu en entier où Zizek développe son propos en s'appuyant sur des séquences cinématographiques. C'est quelque chose qu'il maîtrise bien, et ses réflexions sur le désir trouvent un écho pertinent chez Lars von Treer notamment (encore que sa thèse est assez litigieuse là aussi, mais c'est une autre question).
Encore que ce n'est sans doute pas une autre question pour Zizek. Sa conception de l'idéologie est celle d'un système totalisant dans lequel tout est pris (On sent qu'il a connu l'Est). Le désir voisine le politique en ce qu'ils reposent sur le même imaginaire, pour la faire vite. Et c'est justement le propos ici.
Bref, on peut en parler.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce mec encore. J'aime assez sa volonté de poser des critères moraux pour juger l'action politique me plait assez. Si dangereux que puissent être ces critères, j'ai assez confiance en l'existence de certains invariants.
Quoi qu'il en soit, je suis tombé sur cette vidéo, extraite du Pervert's guide to cinema, un film de trois heures que je n'ai pas vu en entier où Zizek développe son propos en s'appuyant sur des séquences cinématographiques. C'est quelque chose qu'il maîtrise bien, et ses réflexions sur le désir trouvent un écho pertinent chez Lars von Treer notamment (encore que sa thèse est assez litigieuse là aussi, mais c'est une autre question).
Encore que ce n'est sans doute pas une autre question pour Zizek. Sa conception de l'idéologie est celle d'un système totalisant dans lequel tout est pris (On sent qu'il a connu l'Est). Le désir voisine le politique en ce qu'ils reposent sur le même imaginaire, pour la faire vite. Et c'est justement le propos ici.
Bref, on peut en parler.